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23 août 2003, par doramaar

El Arte actualmente se ha convertido en un negocio, pero sobre todo un negocio para las Galerias, o para los que se consideran galeristas, aunque simplemente son vendedores de obras de Arte y se dedican a alquilar un local o unas paredes.

No se en Francia, aunque siempre me han tratado bien las vees que he expuesto, pero en España, excepto en los centros públicos, se trata de un enriquecimiento de la persona que dice que va a exponer y mover tu obra.

Mi crítica hacia todas estas personas es contundente. ¿Que tenemos que hacer para que nuestras obras lleguen a la gente sin tener que pagar ?

En la memoria de todos esta el "marchand" la persona que cree en el artista y que mueve su obra y la lleva a través de los caminos en que puede llegar a ser conocida, en los que la pintura no sea simplemente por amor al arte. ¿Donde queda esa figura ? Actualmente, se enriquecen a nuestra costa, pero no solo eso, sino que nuestras obras no salen de su galeria.

Dejemos que los nuevos artistas, salgan adelante, muestren sus obras, que no se muevan los hilos simplemente por amiguismo, dinero o política.

Dejemos que el Arte se renueve, sabemos que está todo hecho, pero la imaginación, seguramente está reprimida por la falta de poder llegar con ella al público.

Traduction - merci aux hispanisants de me signaler les erreurs :

L’art à l’heure actuelle est devenu du business, et tout spécialement pour les Galeries, ou pour celles qui se considèrent comme telles, alors qu’elles ne sont que des marchands d’oeuvres artistiques et ne s’occupent que du loyer et des murs.

A la différence de la France, où les galeries ont toujours bien fait leur travail avec mes oeuvres, en Espagne, excepté dans les Galeries d’Etat, seul le profit intéresse ceux qui prétendent vous exposer et faire connaître votre travail.

Je suis très en colère contre toutes ces personnes.

Que nous devons faire pour que nos travaux soient présentés au public sans que nous ayons à payer ?

Dans l’esprit de tous le "marchand" est celui qui croit en l’artiste, présente son travail et le fait connaître, parce que le peintre ne peint pas que pour l’amour de l’art. Où est-il ce personnage, sinon lorsque nos oeuvres étant restées dans sa galerie il devient riche à nos côtés, et non lui seul.

Qu’ils donnent leur chance à de nouveaux artistes, qu’ils les mettent en avant, montrent leurs travaux, et s’occupent d’autre chose que de copinage, d’argent ou de politique.

Il faut que l’art se renouvelle, il le fait bien sûr, mais l’imagination, est freinée faute de pouvoir atteindre son public.

Messages

  • Estimada Dora,

    Habla usted como una Madrileña ! No es que en otros paises no roben a los artistas... pero la desesperacion del madrileño, la conozco y la entiendo totalmente. Bueno, me podria equivocar... Quedemonos entonces con la cultura del pelotazo y sus victimas ; con la chapuza y la paletez de un sistema todavia en transicion. Usted y yo... y cuantos otros (un dia le contrare mis penas), hemos sido victimas de este sistema post franquista... Le digo todo esto porque me ha encantado su ira. Porque tambien no solemos escuchar este tipo de quejar por aqui...
    Estoy leyendo una historia de los post impresionistas ; Theo Van Gogh y los demas galeristas, cobraban un 10%, nada mas...
    La solucion ? Crear un tejido asociativo, luchar contra los ladrones y los jetas pidiendo a los que se han triunfado (continuara...)

    Chère Dora,

    Vous parlez comme une madrilène ! Bien sûr on vole les artistes dans d’autres pays... mais le désespoir du madrilène, je le connais et je vous comprends totalement. Je pourrais aussi bien me tromper. Restons-en dans ce cas à la "cultura del pelotazo" et à ses victimes ; à l’à-peu près et au provincialisme d’un système toujours en transition. Vous et moi... et quelques autres (je vous raconterai mes douleurs une autre fois) avons été les victimes de ce système post-franquiste... Je vous raconte tout cela car j’ai aimé votre colère. Et aussi parce qu’ici nous n’avons pas trop l’occasion d’écouter ce type de plainte...

    Je suis en train de lire l’histoire du post-impressionnisme de John Rewald ; Theo Van Gogh, Durand-Rueil, Boussod et Valadon et les autres, prenaient autour de 10% aux peintres, pas plus...

    La solution ? Créer un tissu associatif, lutter contre les voleurs et les marioles, demander de l’aide à ceux qui ont réussi (à suivre...)

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